Il faudrait pouvoir, impunément, combler certains vides biographiques par de la fiction (faire en sorte que tout le monde y adhère) et accommoder nos broderies dans le seul dessein qu’elles passent pour du vécu pur choix. Inversement, on ferait passer le « trop plein » de certaines vies bénies des anges pour de la fiction – tant la vie est souvent mal faite. Rétablir l’équilibre, pour ainsi dire.